L’accident de Fukushima n°1 et son traitement, à court et moyen terme, est à la fois banal et inédit. Il tient certes de l’accident industriel classique, comme le Japon en a connu tout au long du XXème siècle. Mais "Fukushima" révèle aussi les faiblesses structurelles de la démocratie japonaise et de son appareil d’Etat dans la gestion d’une crise de cette nature et de cette ampleur. Et l’on peut en tirer des leçons pour toutes les grandes démocraties.
avec Rémi SCOCCIMARO, géographe, directeur de la section “Japonais” à l’Université Toulouse2-Le Mirail.
Salle de conférences du Parc des expositions
18h00